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Exposition d'art contemporain organisée par la D Galerie du 21 au 24 mars 2024, 30 rue des Envierges, 75020 Paris / SÉRGIO BELLO - ABIGAIL FERREIRA COMPAGNON- SYLVIA RHUD Exposition Là, sous nos yeux - À la D Galerie «Là, sous nos yeux», se trouvent la virulence, la beauté et les bascules d'états, en particulier celles des éléments naturels. Que les tangentes soient l'effet de l'homme - car il sait oublier de voir - chez Sérgio Bello, de leur finitude - car une fleur fane toujours - chez Abigail Ferreira Compagnon, ou des éléments - car impérieuse, placide ou tempétueuse la terre sait être - chez Sylvia Rhud, les oeuvres sélectionnées par la D Galerie appellent à une visite au trait, fusain et pastel pour mener à la contemplation et à l'observation éveillée de ce qui est là, sous nos yeux. Courte exposition de dessin à la D Galerie du 21 au 24 mars 2024. "Là, sous nos yeux" est une courte exposition organisée par la D Galerie autour du travail de trois artistes. « Là, sous nos yeux » souligne le regard de trois artistes sur des états transits. Les oeuvres de Abigail Compagnon Ferreira, Sérgio Bello et Sylvia Rhud conduisent à un regard attentif, en beauté, parfois subtil et/ou engagé. « Lorsque je sculpte la mer, je suis submergée par la force de l'eau et ses ondulations. Lorsque je sculpte un portrait, je lance ma quête au coeur de la matière brute, à la recherche du geste qui reflète les sensations présentes dans mon esprit. Le modèle sert de réceptacle à mes émotions. Le corps se métamorphose alors en un paysage d'ombre et de lumière. » Sylvia Rhud. « Sérgio Bello est celui qui nous rappelle que la terre est faite de l'exubérance de matériaux aussi fantasques que purs. Il inscrit une oeuvre Baroque et libre des tumultes du bois, de la pierre, de la colle, des objets trouvés et de la ligne, quelle ligne ! Un dessin assuré, vif, direct, qui ne cherche pas à plaire mais sait contenir la vitalité de son dévouement profond pour la plus grande des opprimée, celle qu'il traite comme il traite les prophètes symbols et si actuels, ou encore les peuples opprimés incarnés dans la masse de ses peintures ; la terre. » D. Bertrand. « Mon travail s'articule autour de la question du cycle; à la fois dans la représentation du paysage (voyage, chemin, panorama) mais aussi du paysage intime. Je cherche à capturer le paysage mouvant, changeant. Je me l'approprie pour le donner à voir, le faire naître. J'aime jouer avec les éléments, les matériaux, les médiums pour davantage appréhender les sensations. J'accorde une grande importance au choix des matériaux utilisés et à leur portée symbolique afin d'instaurer le dialogue entre la matière et la forme. Matériaux naturels, fragiles à l'image de l'homme, qui vivent un cycle, féconds, ils renaissent à travers la production plastique : le chemin de la matière. L'ailleurs comme présence, ce lieu commun qui nous réunit tous. » Abigail Ferreira Compagnon.
L'HECTARE ET LA GRENOUILLE groupshow du 2 au 11 avril à l'Espace Voltaire, 81 boulevard Voltaire, 75011 Paris Horaires : Vernissage 2 avril 14h-19h Du 3 au 11 avril 11h-19h Contact pour toutes les questions et les réservations Artistes : Patrick Bousquel, Anne Damesin, Claire Duval, Andrea Flores Rueda Elizabeth, Pernelle Gaufillet Ventura, Amélie Grosset, Charlotte Heninger, Raphaëlle Kerbrat, India Leire, Juliette Minchin, Pauline Musset, Blaise Schwartz Commissaire d'exposition : Elora Weill-Engerer Coordinatrice: Olga Nikolaeva
Les peintures d'Akira Kugimachi réinventent le genre du paysage en proposant la contemplation d'un monde hors de l'anthropocène. La nature, omniprésente dans le travail de l'artiste, s'impose comme une forme pure et essentielle, en dehors du temps de l'homme. Lors de sa vingt-cinquième année, Akira Kugimachi traverse une phase de doute dans sa pratique artistique. N'étant plus en mesure de créer, il lit beaucoup et s'intéresse notamment au travail de Deleuze dans lequel il retrouve beaucoup de similitudes avec la pensée bouddhiste japonaise. Deleuze explore en particulier la question de la monade, unité parfaite qui est le principe absolu. Les monades sont les éléments de toutes les choses, tant matérielles qu'incorporelles. Les représentations d'Akira Kugimachi font figure de monades par leurs caractères immuable et originel, elles ne naissent ni ne périssent. Le monde est à leur égard dépourvu d'action et, suivant les expressions de Leibniz, en elles n'existent ni portes, ni fenêtres qui puissent leur donner accès. Le travail d'Akira Kugimachi nous montre l'imperceptible à travers la majestuosité des formes et forces telluriques. L'artiste efface l'idée de personnalité individuelle pour tendre vers le cosmos et le monde en situation d'oubli de soi, il donne à contempler l'harmonie de l'univers. Le mystère est également très présent dans le travail d'Akira Kugimachi. Il laisse volontairement planer des zones d'ombre dans ses compositions, pour donner au spectateur la liberté de concevoir son propre imaginaire. Cette dimension énigmatique se retrouve dans l'ensemble de son oeuvre, elle confère sa singularité à l'artiste qui est sans nul doute l'un des plus grands peintres japonais contemporains. Pour sa première exposition personnelle à Pierre-Yves Caër Gallery - après une exposition collective en décembre 2018 et la participation à la foire Art Paris sur le stand de la galerie en avril 2019 -, Akira Kugimachi a choisi d'exposer deux séries : Air et Snowscape. Le vernissage aura lieu le 15 septembre. Horaires d'ouverture Le mardi de 14h à 19h Du mercredi au samedi de 11h à 19h Métros Ligne 3 : Temple Lignes 3, 5, 8, 9 et 11 : République
Du 12 mars au 27 juin 2020 à Pierre-Yves Caër Gallery Aucun mot ne saurait qualifier tout à fait le travail de la peintre et dessinatrice japonaise Naoko Majima : L'artiste, lauréate de la 10ème Biennale Asiatique du Bangladesh en 2001, fascine et intrigue par un travail à la force dérangeante mais puissante. Aussi, le titre de l'exposition, « Jigokuraku » : expression créée par l'artiste elle-même en jouant sur l'opposition entre enfer (jigoku) et paradis (gokuraku), parait comme tout indiqué. « Jigokuraku » souhaite mettre en avant la diversité et la force du travail graphique et pictural de cette artiste encore mal connue du grand public alors que ses oeuvres sont présentes dans de très nombreuses collections publiques et privées japonaises.
Le peintre lillois Olivier Aubry est préoccupé de la disparition des paysages. Les catastrophes qui ont frappé le Japon - d'origines naturelle ou humaine - ont d'ailleurs tellement marqué l'artiste qu'il décide d'inventorier les paysages japonais. Il y a urgence. À l'enjeu écologique, Olivier Aubry répond par une économie de moyens. Au lieu de se déplacer, l'artiste se fait décrire par Tomomi Yano, son assistante, des paysages japonais qu'elle choisit au hasard sur Google Earth. Ne voyant pas lui-même les photographies des paysages sélectionnés, l'artiste se laisse porter par la description orale qui en est faite. Le trait des croquis est rapide, définitif. Il y a urgence. De ces croquis, le peintre réalise des compositions monochromes, issues de la superposition de plusieurs couches de peinture à l'huile de couleurs différentes. Là encore, le temps est une contrainte, la rapidité, une condition de la création : avant que la peinture à l'huile ne sèche, Olivier Aubry y creuse les lignes de crête de ses paysages imaginés. Comme en calligraphie, le geste est sans retour possible. Il y a urgence. Pierre-Yves Caër Gallery 7 Rue Notre-Dame de Nazareth Du mardi au samedi, De 11h à 18h30.
Cette année marque les cinquante ans de l'artiste Sénégalais Soly Cisse. La D Galerie lui rend hommage du 14 au 30 juin 2019 dans son espace parisien au 49, av. Jean-Jaurès, dans le 19e arrondissement. L'exposition est accessible à tous, de 11h à 19h du mardi au dimanche, et accessible chaque mercredi en nocturne jusque 22h. // JE VOIS UN OISEAU, c'est l'évocation de celui qui regarde, celui qui voit et donne l'existence d'une oeuvre par sa lecture. Ce que décrit l'artiste quand il parle de cet infini que chaque tableau semble susurrer. "Pour moi, le tableau n'est jamais le même. Le tableau change, je cherche, je vois un oiseau.." Soly Cissé évoque ainsi les formes qui jaillissent de ses tableaux, sans cesse renouvelées. L'exposition de la D Galerie met l'accent sur la nouvelle abstraction qui naît des dernières peintures de l'artiste. Une recherche de synthèse des motifs autant que des éléments empruntés à la nature d'une part et à la civilisation d'autre part. En un manifeste plus engagé peut-être, Soly Cissé crée ce qui vient avant que l'hypocentre ne provoque la rupture. Il réunit l'homme et le règne animal dans un espace commun, moins figuratif qu'auparavant, fait de mélanges et de fondus colorés. La composition de ses nouvelles toiles s'en ressent d'autant plus vivante, frétillante parfois, aérienne, flottante. JE VOIS UN OISEAU est donc une exposition dont le titre rappelle aux thèmes de l'artiste autant qu'à ses positions, celles d'un artiste qui passe par l'intensité des bleus, roses, ocres, et la douceur des verts, violets, jaunes pour construire un espace, celui du vivant.
Cette exposition est ouverte à toutes et tous... Une exposition unique de 5 jours de la femme artiste peintre Mara Tranlong en hommage à Louis-Ferdinand Céline, se tiendra du samedi 2 décembre au jeudi 7 décembre 2017 à la Galerie « Untitled Factory » à Montmartre 32 rue Gabrielle 75018 Paris. 8 oeuvres originales sur bois, fruit de 6 années de recherche, compilation et de travail minutieux. Texte de l'artiste "Mara Tranlong" concernant "Tumulte à Copenhague" d'après "Féérie pour une autre fois" de Louis-Ferdinand Céline : "Entre la pellagre, les hurlements, les barrissements des détenus, les sirènes, les délires, l'envahissement de souvenirs, la visite de Lili et Bébert dans son sac, Céline insulte grossièrement Gaëtan Serge d'Hortensia, l'assesseur de l'Ambassade à Copenhague, qui le visite régulièrement pour l'inciter à se rendre en France." Mara Tranlong Nom de l'oeuvre : "Tumulte à Copenhague" - Acrylique-Tempera sur bois, clouté et vernis - Dimensions 110 x 110cm
Footlights participe au Mois de la Photo du Grand Paris Vernissage mardi 4 avril, de 18h à 21h, en présence de l'artiste Footlights rassemble plusieurs travaux récents du photographe Guillaume Martial où le corps et l'espace sont toujours mis à l'honneur à travers de petites histoires burlesques. Le personnage élancé nous emporte dans un décor théâtral où règne la magie du mouvement et l'illusion du réel. La première partie revisite les inventeurs de l'image animée et du trucage visuel. La seconde nous plonge dans une architecture réappropriée par un athlète désorienté ou par un chercheur rêveur. Fixe ou animée, l'image photographique est sans cesse remise en question comme par enchantement. Avec une scénographie inventive : caissons lumineux, tirages encadrés, installation vidéo et camera obscura en bois, cette exposition propose de découvrir l'oeuvre d'un photographe dans un jeu acrobatique entre rigueur et fantaisie. Du 04.04 au 06.05.2017 Du mardi au vendredi de 14h à 18h, le samedi de 10h à 18h La galerie sera exceptionnellement ouverte de 10h à 18h, samedi 22 et dimanche 23 avril, pour le week-end intense Sud-Ouest du Mois de la Photo du Grand Paris Galerie Esther Woerdehoff 36 rue Falguière 75015 Paris
A l'occasion de la journée de la femme, le Collectif d'Artistes organise une « Porte Ouverte spontanée » avec quelques uns de nos ateliers ouverts et la présence de quelques artisans dans le hall. Un moment convivial et culturel à partager avec tous ! A Montmartre aux artistes. 189 rue Ordener 75018 Paris les 8, 11 et 12 mars de 11h à 20h.
Exposition visible 24/24h du 20 septembre au 8 décembre 2016 Transformer l'ordinaire, transfigurer l'existant, Eric Vassal à fait le choix d'inscrire l'oeuvre dans l'histoire contemporaine du quartier, en ayant recours à la technique de la mise en abîme. L'artiste a décidé d'installer un contenant (Une Tente), dans un autre contenant (la Vitrine Scope), elle-même contenu dans un quartier en plein renouveau architectural. Textilehenge rend également hommage par sa forme circulaire, à l'histoire du lieu, la Petite Ceinture, ancienne ligne de chemin de fer qui faisait le tour de Paris.
22.06.2016 - 13.07.2016 Vernissage et signature le mercredi 22 juin, de 18h à 21h Nous avons le plaisir de vous inviter au vernissage de la nouvelle exposition de Michael von Graffenried : Changing Rio. Connu pour son travail sur la guerre civile en Algérie et au Soudan, ses installations en public sur la drogue en Suisse et sur la ville de Varanasi en Inde, et plus récemment sa série sur l'Oktoberfest à Munich (publiée sous le titre Bierfest aux Éditions Steidl), Michael von Graffenried avait voyagé dans le monde entier à l'exception de l'Amérique du Sud. Le photographe suisse a découvert récemment ce continent et ce portrait en images de Rio de Janeiro est le résultat de plusieurs séjours dans la mégapole pendant ces deux dernières années. Cette exposition est accompagnée de la parution du livre Changing Rio aux éditions Slatkine. Une séance de signature aura lieu le soir du vernissage.
Du 19 mai au 25 juin 2016 Le photographe Jérôme Bryon expose pour la deuxième fois à la galerie La Forest Divonne. Dans sa série Grand Sud, il interroge des lieux communs sans charme et hostiles à la créativité et à travers son regard objectif les transforme en des images nouvelles et pleines de force. Par un geste minime, un simple pas et rapprochement de l'oeil de la caméra, il fait basculer le regard documentaire du reporter dans la recherche d'une harmonie visuelle et d'une cohérence plastique propres au photographe d'art. Livre, Possibilité de survie en milieu hostile, textes Hervé Le Goff, 112 pages, Editions Cercle d'Art, 35EUR. Nocturne du Jeudi des Beaux-Arts le jeudi 2 juin Dans le cadre de la manifestation Art Saint Germain des Près ouverture exceptionnelle le dimanche 5 juin de 14h à 18h Vernissage le jeudi 19 mai de 18h à 21h Entrée libre